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Les victorieuses – Laetitia Colombani

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Titre : Les victorieuses

Auteure : Laetitia Colombani

Date de parution : novembre 2019

Editions : Audiolib

Lu par l’auteure, durée 5h28

 

Suite au suicide de son dernier client, Solène, une brillante avocate parisienne d’une quarantaine d’années, s’enfonce dans une profonde dépression.

Pour redonner un sens à son existence, on lui conseille de faire du bénévolat. Solène propose alors ses services comme écrivain public une fois par semaine au Palais de la femme, un immense foyer réservé aux femmes dans le besoin.

Cette rencontre avec la précarité change le regard de Solène sur la société. Elle tente peu à peu de gagner la confiance de ces femmes que la vie n’a pas épargné. Des victimes de violences conjugales, des immigrées dont nous découvrons les histoires dramatiques.

En parallèle de l’histoire de Solène, nous faisons un bond dans le passé en découvrant Blanche Peyron et son incroyable investissement au sein de l’Armée du Salut.

Toute sa vie sera dédiée aux plus démunis, à combattre la misère avec acharnement. A la fin des années 1920, le Palais de la femme verra le jour grâce à la volonté et à l’engagement de cette femme remarquable.

L’intérêt de ce roman repose sans aucun doute sur la découverte de ce Palais de la femme dont j’ignorais tout et dont les portes sont toujours ouvertes aujourd’hui.

Si j’ai été vivement intéressée par le parcours de Blanche Peyron que Laetitia Colombani met en lumière dans ce récit, j’ai trouvé que l’ensemble n’était pas assez étoffé, trop survolé.

Néanmoins, la plume reste fluide, l’écoute très agréable et j’ai particulièrement apprécié l’entretien qui conclut la version audio.

Au final, un roman plaisant à découvrir, sans être vraiment mémorable.

note 3

13 commentaires sur « Les victorieuses – Laetitia Colombani »

  1. entièrement d’accord. Seuls Blanche et son mari qui sont des personnes remarquables, ainsi que l’histoire du Palais de la Femme » m’ont intéressés.
    Il y a un trop grand décalage entre les 2 histoires.
    c’est déjà le reproche que je lui faisais pour « La Tresse »

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